Collection Jeune – Vieux. Grand-Père Indigne (1/1)

• Mademoiselle Véronique, merci d’avoir répondu à notre annonce, mon père a 70 ans et est presque impotent, il se lève de son lit à son fauteuil, de son fauteuil aux toilettes.
Dans sa villa, nous avons sacrifié une chambre, mais il y en avait 6, 4 à l’étage et 2 au rez-de-chaussée, elle a été transformée en salle de bains avec une douche où vous pourrez le doucher sur un fauteuil prévu pour aller dans l’eau et des toilettes où il peut se relever pour retourner dans son fauteuil.
Vous devrez lui essuyer les fesses quand il en aura besoin.
Attention, ses médicaments, vous trouverez dans la cuisine une liste de médicaments à lui donner, les heures et surtout les quantités, papa a déjà fait deux infarctus, un troisième lui serait certainement fatal.
Le médecin vient le voir pour faire sa prise de sang et renouveler son ordonnance, je viendrais tous les samedis et j’irais à la pharmacie quand il y aura besoin.
Adèle vous apportera les courses chaque dimanche, si vous voyez quelque chose qu’il risque de lui manquer, appelez avant le vendredi soir, si j’ai le nécessaire chez nous, je vous l’apporterais sinon ce sera elle.
Vous lui préparerez ses repas et lui ferez son ménage, toutes ces servitudes seront payées 3 000 € nets tous les mois.
Pour vos repos, ce sera tous les dimanches et jours fériés, Adèle, ma femme viendra vous remplacer jusqu’au soir 18 heures, c’est à cause de toutes ces servitudes que nous vous donnerons cette paye.
Acceptez-vous le poste ?
• Je suis d’accord d’essayer, si des choses ne vont pas, je vous le dirais.
• Vous avez un portable, brancher le sur le WI-Fi, regardez sur la box le code, voici le numéro où vous pourrez me joindre.
• Papa, voici Véronique, j’espère que tu seras gentil avec elle pour une fois.
• Demain, au plus tard, elle sera partie, elle est moche cette nana, elle n’a pas de chair sur les os, on dirait un cadavre, j’en ai assez vu pendant la guerre.


• Tu te fiches de nous, tu es né à la libération, tu fais partie du baby-boom.
• Laissez-moi avec lui, je vais bien m’entendre, vous verrez.

Le fils me quitte après m’avoir fait visiter, je ferme derrière lui, non par peur, mais vraiment pour être tranquille avec mon grand-père.
Il m’a dit qu’il fallait que son père évite le sucre et que chaque jour le soir, je devrais lui injecter en piquant dans sa cuisse, 40 points d’insuline, en plus de ses infarctus, j’ai peur que je n’aie cette place pendant une courte durée.
J’accepte ce travail plus pour la rémunération que pour le vieux dont je dois m’occuper.

• Quel est ton nom grand-père, ton fils ne me l’a pas dit, si tu es sage, je vais te faire une surprise.

Je vais dans la cuisine, le frigo et les placards regorgent de nourriture, je vais pouvoir tenir un siècle, naturellement aucun dessert sucré, mais de la farine, des œufs, du lait, du rhum, je peux lui faire des crêpes en mettant un peu de sucre en poudre que je trouve dans un sucrier en verre.

• Alors papy, comment t’appel-tu, ton fils ne nous a pas présentés ?
• Lucien, j’ai senti que tu faisais des crêpes, donne-m'en, j’adore ça, mais la pute d’Adèle me refuse ce plaisir quand elle vient.
• Non, c’est pour moi, tu es trop méchant, tu veux que je perde ma place et ma paye.
• C’était pour rire, salope, je te dis de m’en donner une, où au moins un morceau, tu as mis du rhum, je le sens.
• Bien sûr, j’ai mis du rhum, tu as dit que j’étais un sac d’os, je vais toute les manger afin que tu sois satisfait que ta servante soit potelée.
• Arrête tes conneries, tu as gagné, je dirais à Louis que tu es une fille parfaite quand il me téléphonera demain, j’ai l’impression qu’ils appellent pour savoir s’ils vont toucher l’héritage.
Le vieux, il s’accroche, merci, c’est bon, elles sont parfaites, tu m’en feras tous les jours.
• Non, tous les lundis, les crêpes faîte au beurre, ça embaume et tes s apprendraient que je te gatte.

• Tu penses à tous, d’accord pour les lundis.

Dans les semaines qui suivent l’entente entre nous est parfaite, le dimanche avant d’entrer, je vais chez l’épicier maghrébin ouvert le dimanche et j’achète un kilo de sucre en poudre, j’étais en panne pour demain.
Le lundi avant les crêpes, c’est la douche, je le conduis dans la chambre où je le déshabille, sa femme n’a pas dû s’ennuyer vu le morceau de verge qu’il me présente, on va dans la salle de bains et je le lave intégralement même sa bite.

• Mais grand-père, tu bandes.
• Ça m’arrive, ne me dit pas que ça te choc ou alors tu es vierge.
• Tu manques de tact, on ne demande pas une telle chose à une jeune fille.
• Si tu veux, je vais te faire sauter ton hymen, j’adorais baiser des jeunes salopes dans ma jeunesse, jusqu’au jour où j’ai épousé Denise, quelle salope, nous baisions tout le temps jusqu’à la venue au monde de Louis.
• Ensuite, elle se refusait !
• Mieux, elle l’a pondue et c’est tiré avec un bellâtre, j’ai élevé mon fils jusqu’à ce qu’il épouse la pute d’Adèle, quelle salope celle-là.

Dans mes fonctions, je dois aller à la boîte aux lettres chercher le courrier et lui apporter, selon ce que c’est, il les classe et fait rouler son fauteuil jusqu’à un meuble qu’il ouvre avec une clef attachée à une chaîne, elle-même reliée à son pantalon, avant de les ranger dans diverses chemises de couleurs.
Un jour, il se sent mal, je l’emmène dans sa chambre et je l’aide à s’allonger, je vais chercher des gouttes à lui donner en cas de problème.

• Repose-toi grand-père, je vais dans la cuisine.

Pour ce faire, je passe devant le meuble ouvert, j’ai tendance à être curieuse, je regarde les chemises « Notaire » « Compte d’épargne » « Compte courant » « Actions » « Bien immobiliers » et tout en bas de la pile un dernier dossier avec simplement marqué « Loto ».
J’ouvre le dossier, plusieurs coupures de presse montrant Lucien avec son fils et un chèque de 10 millions de francs.

« Le père abandonné qui élève son fils seul après son divorce sa femme l’ayant quitté gagne le gros lot. »
C’est l’article d’une des coupures.
Les chiffres sont vertigineux, je vais chercher mon portable et je fais des photos des derniers relever des différents dossiers, dans la partie haute, il y a un tiroir, je l’ouvre, trois lingots d’or et un paquet de billets de 500, 200 et 100 €.
Je le referme pour ne pas être tentée.
Dans les jours suivants jusqu’au lundi, il va mieux, c’était un simple coup de pompe, le dimanche, j’avais donné rendez-vous à Antoine, un copain conseillé financier qui analyse les avoir photo par photo et me confirme que le grand-père est riche à millions, mais plus en francs, en euros.
Ce lundi, un plan germe en moi, pourquoi ce seraient les autres qui seraient riches, je lave Lucien, il bande quand je lui lave la verge, je me mets nue et je m’agenouille, moi qui suis vierge, je le suce, mais cela fait partie de mon plan.

• Je vois que tu as fini par craquer, tes comme toutes les femmes, tu aimes les beaux sexes, salope, tu pompes mieux qu’Adèle.

Je relève la tête.

• Adèle vous suce !
• Oui, depuis mon deuxième infarctus, il y a trois ans, elle espère que je vais casser ma pipe et qu’elle va toucher le pactole, mais je m’accroche.
• Remets-toi dans ton fauteuil, j’ai une surprise pour toi.

Je l’emmène sur son lit, dès qu’il est allongé, je recommence à le sucer et dès qu’il est en état pour le faire, je le rejoins et je m’enfile cette verge vieille, mais efficace dans la chatte.
J’avais peur d’avoir mal, mais je suis tellement excité en voyant défiler les euros devant mes yeux que nous jouissons simultanément.

• Adèle, elle te baise comme ça, avec sa chatte !
• Non, elle me suce, mais refuse de me donner son vagin.

Je baise avec Lucien chaque fois que j’arrive à le faire bander, jusqu’au samedi suivant quand son fils arrive, il se lève tard et son fils à l’habitude d’aller dans sa chambre avant de me rejoindre dans la cuisine.


• Qu’avez-vous fait à papa, il est resplendissant?
• Simplement mon travail, vous prenez un café.

Je suis restée en peignoir, nu dessous.

• Asseyez-vous, je vais vous servir.

Je sers deux tasses et je m’assieds, ma tasse m’échappe et tache mon vêtement, chevalier servant Louis se lève, prend le torchon que j’avais préalablement placé là et vient essuyer les dégâts.
J’ai tout calculé, j’écarte mes cuisses quand il passe la serviette, il s’est agenouillé devant moi et je lui appuie sur la tête, il doit être surpris de mon audace, mais sa langue vient sur mon bouton, je découvre à ce moment que bien stimulé, il me fait énormément mouiller.

• Baise-moi, depuis que je te connais, j’ai envie de ta queue.

Il la sort, il est bien moins monté que son père, mais pour ce que c’est faire, je m’en contenterais, ce que je veux, c’est du sperme de cette famille au fond de mon vagin. ADN de Lucien ou ADN de Louis, c’est du pareil au même quand je demanderai une analyse de paternité, car c’est là mon but, un gosse et à moi une partie de la fortune de Lucien, car bien sûr je revendiquerai que c’est le seul homme à m’avoir baisée.
Je vois mal, Louis dire à sa femme que lui aussi m’a fournie son sperme.
Ce que j’aime dans les jours et les semaines suivantes, c’est que les deux hommes me font prendre mon pied.

Trois mois plus tard, j’annonce à Louis que Lucien me baise aussi et que je suis enceinte.
Lucien est fier, Louis un peu moins et me traite de pute.
Le dimanche qui suit Adèle fidèle à ses habitudes suce son beau-père qui fait l’infarctus tellement attendu, elle appelle son mari qui débarque, j’apprends que mon fils perd l’un de ses pères potentiels.
Le lendemain, pendant que la famille pleure comme des madeleines, alors que je sais bien que pour eux c’est la délivrance et l’arrivée du paquet de pognon, la garce d’Adèle n’étant pas la dernière, je regarde la photo du dossier « Notaire » et je dépense le prix d’un taxi, pour me rendre à l’adresse indiquée.
Il me reçoit et prend en compte que je revendique que mon soit celui de mon patron qui a abusé de moi malgré son grand âge, j’ignore qui il appelle, mais quelques jours après je suis convoquée à la police et comme je lui avais demandé un test ADN avant naissance est pratiqué sur mon .
Entre-temps, je suis retourné chez mes parents afin d’éviter de rencontrer ceux que je gruge.
Je me retrouve chez le notaire qui a bloqué le dossier, je suis à quelques jours d’accoucher.

• Monsieur, mesdames, j’ai reçu de la justice la preuve que l’ de mademoiselle est celui de votre père qui l’a abusé, elle va recevoir la part qui lui revient.
• Quoi, cette salope me pique mon pognon, c’est moi qui ai tout fait, ça fait plus de trois ans que je suce ce vieux pourri pour qu’il crève, je vais porter plainte.
• Comment Adèle, tu as sucé mon père pour avoir son argent, je savais que tu étais pourri, mais à ce point tu es une pute ?
Monsieur Alain, vous êtes témoin, elle a dit qu’elle avait fait ce qu’il fallait pour le , je vais à la police et je vais divorcer.

Adèle est arrêtée et condamnée à deux ans de prison, je me fiche si elle les a faits, par compte, Louis a divorcé, elle n’aura pas un picaillon, quant à moi, j’ai accouché de mon fils Lucien, je dois bien ça à son père.
J’ai réussi à faire croire à Louis que son père ne m’avait jamais touché, que j’avais donné cette version pour protéger notre amour envers sa femme, j’ai emménagé comme maîtresse de maison là où j’ai été dépucelée.
Son divorce prononcé Louis m’épouse, je suis sereine, il me baise chaque fois qu’il est avec moi, ce qu’il ignore, c’est que je pars dans ma villa achetée vers la côte et que je le cocufie avec de beaux bellâtres.
Il faut savoir être patient, je viens d’entrer en urgence, je suis à l’hôpital, je viens d’embrasser mon mari et profitant que nous sommes seules, je passe ma main sous le drap pour le masturber, il bande et il éjacule, il est là, car il a fait son premier infarctus.
Qui est la plus grande pute, Adèle, Véronique ?

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